Claude Gaspar BACHET
(1581-1638)
Premier poème en ligne :
1620 : Rosine, la beauté…

 
 
L’abbé GOUJET, 1754
 

CLAUDE-GASPARD BACHET
Seigneur DE MEZIRIAC.

Cette illustre Com­pa­gnie per­dit un an après, le 26 Fé­vrier 1638, un autre de ses membres[1], en la per­sonne de Claude Gas­pard Bachet, Sei­gneur de Mé­zi­riac, Gen­til­homme né à Bourg-en-Bresse le 9 Octobre 1581 […]. Savant dans les Langues, en par­ti­cu­lier dans la Langue Grecque, il n’était pas moins pro­fond dans la connais­sance de la Fable, dans l’Al­gèbre, dans les Ma­thé­ma­tiques, et dans les autres Sciences curieuses. Il en­tra chez les Jé­suites à l’âge de 20 ans, et régen­ta la Rhé­to­rique à Mi­lan. […]

L’abbé GOUJET,
Bibliothèque française,
ou Histoire de la Littérature française,
tome XVI, 1754, pp. 3-4
[Gallica, NUMM-50659, PDF_6_7]
(texte modernisé).


________

Notes

[1] La « vie » de Bachet suit celle de Phi­lippe Habert qui se ter­mine par les mots sui­vants : « L’Aca­dé­mie Fran­çaise témoi­gna le re­gret qu’elle avait de la mort de M. Ha­bert, en lui fai­sant faire un Éloge par M. de Gom­baud, et une Épi­taphe en vers par M. Cha­pe­lain. »



 

Sur la vie et l’œuvre

* On peut lire, de Claude-Georges Collet et Jean Itard, « Un ma­thé­ma­ti­cien hu­ma­niste, Claude-Gaspar Ba­chet de Mé­zi­riac (1581-1638) », article pa­ru dans la Revue d’his­toire des sciences, tome 1, n°1, 1947, pp. 26-50, en ligne sur Per­sée, por­tail de publi­ca­tion élec­tro­nique de revues scien­ti­fiques en sciences humaines et sociales.

Liens valides au 10/02/24.






 


En ligne le 10/02/24.
Dernière révision le 10/02/24.