anaphore
de « ô »
(vers 1-6)
Au compagnon du ventre
Ô des
Amours
le repos
gracieux,
Ô le trésor
des trésors
de mon Ente,
Ô
petit
mont,
ô
coralline
sente
Qui peut tenter les hommes
et les Dieux !
Ô
mont
feutré d’un
coton
précieux,
Ô Paradis !
faudra-t-il que je tente
Ton vain
portrait
sans qu’au vrai je contente
De la douceur
mes esprits
envieux ?
Crois-moi, tu fais, mon
Ente,
trop de compte
En ta verdeur,
de ne sais quelle honte,
Honte
qui fait que le
monde
défaut.
Non, non, ne crains :
ensuis-moi la
nature,
Laissant la honte
à ceux qui en ont
cure :
Jamais en soi la nature
ne faut.
Au compagnon du ventre
Ô des
Amours
le repos
gracieux,
Ô le trésor
des trésors
de mon Ente,
Ô
petit
mont,
ô
coralline
sente
Qui peut tenter les hommes
et les Dieux !
Ô
mont
feutré d’un
coton
précieux,
Ô Paradis !
faudra-t-il que je tente
Ton vain
portrait
sans qu’au vrai je contente
De la douceur
mes esprits
envieux ?
Crois-moi, tu fais, mon
Ente,
trop de compte
En ta verdeur,
de ne sais quelle honte,
Honte
qui fait que le
monde
défaut.
Non, non, ne crains :
ensuis-moi la
nature,
Laissant la honte
à ceux qui en ont
cure :
Jamais en soi la nature
ne faut.
En ligne le
21/04/21.
Dernière révision le 30/08/22.